Me promenant par une belle soirée étoilée de juin,
toujours à la recherche de quelques limaces, ma route, à proximité du chemin de
la queue de la brosse, se trouva barrée par des matériaux de construction. Dans
un premier temps, j'imaginais conserver ce coin pour l'utiliser comme abri par
grosse pluie. Après réflexion, je pensais que ces plaques ondulées, sûrement
composées de matériaux toxiques devraient être évacuées avant d'être brisées
par qui que ce soit, dégradant ainsi notre environnement. Ayant passé le
message, je continuais ma promenade en sifflotant.